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Le CorsicaBlog

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3 septembre 2009

CORSE SHOPPING

A Calvi, les entreprises audacieuses fleurissent et les ambitions portent leurs fruits de réussite.

J'en veux pour preuve cette création que vous trouverez en "liens amis" de ce CorsicaBlog, sous le nom de :
                                                            CORSE SHOPPING
                                              La Corse chez vous toute l'année

CORSE SHOPPING est nait de l'idée d'un jeune homme actif, Fabrice DESAYES, calvais de surcroît, qui a créé sur la planète du Web, son "site boutique" pour vendre et livrer partout dans le monde.....les produits corses dans sa plus grande variété possible en, respectant une gamme de prix étonnante, offrant une qualité de service professionnelle et une sécurité de transaction sans faille.

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Que trouver sur Corse Shopping?

Des produits artisanaux élaborés par  divers artisans de Balagne et de Corse
Un gage d'engagement total pour satisfaire les clients qui leur font confiance
Une gamme variée issue de l'agro-alimentaire de l'Île de Beauté
Une exclusivité de tous les produits du Domaine Orsini et un partenariat sans faille, afin d'être représentatif et garant d'une qualité contrôlée et d'un stock permanent.
Une équipe soucieuse et volontaire de diffuser des produits Corses dans les meilleurs conditions et s'assurer de la satisfaction de ceux qui les reçoivent
Un suivi de livraison dans les plus brefs délais.

Enfin Corse shopping est animé d'un dynamisme à toute épreuve et s'efforce de répondre à vos attentes, pour vous donner la possibilité à tout moment de l'année d'offrir à vos amis, et de proposer à votre famille, le temps d'un repas, une douce liqueur de Myrte, un Cap Corse, un apéritif à la Châtaigne. Mais aussi de somptueux coffrets cadeaux qui raviront tous les gourmets.

Tous les produits de Corse ne sont pas dans la boutique, aussi, n'hésitez pas à vous diriger vers les liens associés pour les recherches en charcuteries et autres diversités disposant de sites web avec paiement sécurisé................................et pourquoi pas des TONGS !!!

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14 juillet 2009

Les figues corses

Le figuier existe à l'état spontané dans tout le bassin méditerranéen, il fut cultivé en Grèce dès l'époque Homérique, en Corse les premières plantations de figuiers apparaissent dans le Cap et en Balagne au cours du Moyen-âge.

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Blanches, vertes, mauves ou violettes, les premières figues, les figues fleurs "i fiuroni" mûrissent en juillet, mais la figue est généralement un fruit de fin d'été.

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Consommées fraîches ou séchées elles étaient destinées à la consommation familiale mais aussi commercialisées. Leurs qualités gustatives, énergétiques, et digestives en font depuis toujours un aliment très prisé.

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Du pain et des figues fraîches pouvaient constituer jadis un en-cas consistant parfois même un repas "pane biancu e fichi maturi, ch'ella dura" se souhaitait-on.

Aujourd'hui elles sont servies en début ou fin de repas avec du jambon ou du fromage fort.

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Cuites en sirop elles calment les maux de gorge. Jadis elles entraient aussi dans la préparation des pâtisseries, où elles remplaçaient le sucre, alors rare et cher. La conservation au sucre, s'est pratiquée tardivement, la confection de confitures s'est réellement répandue à partir de la première moitié du 20° siècle.

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Les figues séchées étaient consommées en guise de dessert ou le soir au cours de veillées. Le séchage était fréquemment pratiqué, il se faisait en plusieurs opérations, les fruits étaient séchés au soleil sur des claies de roseau ou de tige d'anis, dans le Taravo on les mettait à sécher aux fenêtres accrochées à des épines de prunellier ou d'oléastres. Ensuite ils étaient trempés dans une tisane bouillante, composée de sel de feuilles de mais et de cendres, dont la recette variait sensiblement suivant les régions, puis ils étaient à nouveau disposés au soleil. Le séchage se poursuivait ensuite à l'ombre pour que les fruits restent plus souples, et enfin un passage au four terminait la préparation afin d'éviter tout risque de moisissures.

Séchées les figues étaient ensuite déposées dans des corbeilles d'osier ou dans des pots en terre cuite, et parfumées avec des feuilles de laurier, de fenouil ou de pêcher

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26 mai 2009

Restaurant le Pain de Sucre

Le Restaurant "le Pain de Sucre " sur la plage de Ste Restitude, commune de Lumio......une adresse à graver dans son agenda des bonnes adresses.

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C'est d'abord une plage tranquille, puis un point de vue magique face à Calvi......ensuite c'est un Etablissement flanqué là, avec tout son charme pittoresque....

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Enfin, c'est un accueil chaleureux et une cuisine à faire chavirer plus d'un gourmet...dans un décor raffiné à souhait

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......et des spécialités, que ce soit en poissons, en viandes......ou encore en desserts......

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Regardez déjà ce que nous propose le Menu du Soir :

les entrées : 

Langoustines du cap corse, sautées à l'huile d'olive et au citron
Moules au muscat et safran
Verre nordique
Dégustation de thon et vinaigrette à l'huile de basilic
Brochette de mozzarella, huile d'anchois
Salade de mini légumes, sirop de poivrons épicé
Verrine de poivrons grillés au caviar d'aubergine

les pates :

Penne cuites comme un risotto, légumes de saison croquants, liés au pesto
Tagliattelles à l'Arrabiatta, filets d'anchois et copeaux de parmesan

les viandes :

Souris d'agneau confite, semoule aux fruits secs
Magret de canard grillé, polenta crémeuse aux olives noires
Filet de boeuf, fois gras poêlé

les poissons :
(poissons de pêche locale cuisinés selon votre envie) 

Rougets, chapons, daurades, corbs, mustelles, sars, pageots
Langouste
Thon à la plancha, compotée de poivrons au lard paysan
Espadon à la plancha, ratatouille croquante, tomate olive
Risotto de Saint-Jacques aux agrumes  

les desserts :

Aumonière aux poires à la crême d'amande
Baba au rhum
Fondant au chocolat, crême anglaise safranée
Millefeuille aux fraises
Minestrone mangue passion, sorbet orange

Alors ??? Convaincu ??...........Eh bien, réservez vite votre table pour ce soir !!!

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23 mai 2009

Un porte bonheur corse

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21 mai 2009

Migliacci et Pisticcini

Comment ne pas parler encore et encore des bienfaits de la farine de châtaigne !! Cette base alimentaire antique pour les insulaires, fait l'objet de multiples recettes de cuisine. Si la Pulenda était l'élément de base pour se substituer au pain et à la farine de blé, la farine de châtaigne a toujours été prisée pour agrémenter les recettes de desserts. Ceux ci se présentaient essentiellement sous forme de beignets cuits au four ou frits à la poêle.
En voici deux d'entre eux: Les Migliacci et les Fritelli Pisticcini

Migliacci

Migliacci

CUISSON :
à four chaud 15 mn.

INGREDIENTS :
500 g de farine de châtaigne, 25 g de levure de boulanger, 300 g de brocciu, 2 oeufs, 1 dl de lait.

PREPARATION :

Délayer la levure dans un peu d'eau tiède. Mettre la farine dans un saladier avec, dans le creux, 1 oeuf, le lait et la levure délayée. Délayer en remuant, ajouter le fromage en morceaux puis pétrir la pâte, laisser reposer jusqu'à ce que la pâte ait levée. Pétrir légèrement à nouveau et disposer la pâte en petits tas sur une plaque beurrée avec ou sans feuilles de châtaignier.
(les migliacci, dans les villages de Castagniccia, étaient cuits sur un lit de feuilles de châtaignier posé sur une plaque metallique, elle même posée sur le fugone. La pâte y était coulée en beignets ronds...et qui, ainsi, ne collaient pas !)
En début de cuisson, parsemer les migliacci de petits morceaux de brocciu, et en fin, dorer les beignets avec un oeuf battu mélangé à un peu de lait.

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Fritelli Pisticcini

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CUISSON :
A la poêle huilée

INGREDIENTS :
pour une douzaine de beignets, 250 g de farine de châtaigne, une pincée de sel, un verre d'eau, huile.

PREPARATION :
Dans un saladier, délayer la farine de châtaigne avec l'eau salée jusqu'à obtenir une pâte légère et consistante (pâte à crêpe). Chauffer l'huile dans la poêle et versez y, à l'aide d'une louche, des ronds de pâte pour obtenir de petits beignets de 6 à 10 cm de diamêtre. Retourner les beignets sur les deux faces durant la cuisson, jusqu'à légère dorure croustillante. Servir nature, avec du brocciu ou confitures.

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21 mai 2009

Le Cédrat et la Main de Bouddha

S'il est un agrume qui peut être considéré comme endémique à la Corse c'est :
Le cédrat. Le fruit du cédratier, un arbre de la famille des Rutacées.

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Proche du citron, le cédrat est un fruit ovale et verruqueux qui peut mesurer jusqu'à 25 cm de long et peser 4 kg. Sa chair verte ou jaunâtre est acide et peu juteuse, mais son odeur est très agréable.

Trop amer, le cédrat est rarement utilisé frais. Il est surtout vendu confit et utilisé en pâtisserie, en confiserie ou à des fins décoratives. Il est également transformé en confiture et en liqueurs. Les zestes d'écorces sont employés en pâtisserie industrielle.
La Cédratine, liqueur insulaire élaborée à partir de cet agrume, fait la réputation de la Corse dans les découvertes touristiques des estivants.

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Le cédrat est reconnu depuis l'antiquité méditerranéenne pour ses vertus particulières sur l'organisme du corps humain......nos temps modernes nous l'ont fait oublier !

Dans la variété du cédrat il existe celui que la nature a voulu toujours surprenant à l'oeil :
La Main de Bouddha

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25 avril 2009

Paese

Mon village sur une musique de Michel Peppé et des photos de Pierre Bona

13 avril 2009

La Brioche de Pâques Corse

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Il est de tradition insulaire, depuis des temps, de confectionner, à l'occasion de Pâques, cette couronne de patisserie enchâssant de sa pâte en croisillon des oeufs durs que les enfants convoitaient avec le bonheur de déguster un véritable trésor. Il y avait, dans cette couronne, autant d'oeufs qu'il y avait d'enfants sous le toit familial.....

En voici donc le recette:

  • 500 g de farine
  • 50 g de beurre mou
  • 13 cl d'eau
  • 1 sachet de levure de boulanger
  • 1 cuillère 1/2 à café de sel
  • 80 g de sucre
  • Le zeste râpé d'une orange
  • 4 oeufs

Pour la dorure

  • 1 jaune d'oeuf
  • 1 c à s de sucre
  • 1 c à c de lait
  1. Mettre dans un saladier, la farine, la levure, le sel, le sucre et le beurre.
  2. Pétrir pour répartir le beurre dans la farine.
  3. Ajouter l'eau et le zeste.
  4. Pétrir 20 mn jusqu'à obtenir une pâte souple et homogène.
  5. Former une boule et laisser lever dans le saladier recouvert d'un torchon pendant 2 h.
  6. Pétrir de nouveau 1 mn pour chasser l'air et prélever 100 g de pâte.
  7. Former une boule avec la pâte restante.
  8. Avec les doigts creuser un trou au milieu de la boule et écarter la pâte pour former une couronne.
  9. Disposer les oeufs sur la couronne en enfonçant légèrement pour former un creux.
  10. Avec les 100 g de pâte façonner un long boudin et couper en 8 morceaux égaux.
  11. Avec 2 morceaux former des croisillons pour maintenir un oeuf sur la couronne.
  12. Procéder de la même façon pour les 3 autres oeufs.
  13. Poser sur une plaque à pâtisserie recouverte de papier sulfurisé et laisser lever 50 mn.
  14. Pendant ce temps, préchauffer le four à 210° pendant 20 mn avec une coupelle d'eau posée sur la sole.
  15. Dorer au pinceau et enfourner pendant 25 mn.
  16. Couvrir d'un papier aluminium et poursuivre la cuisson pendant 15 mn.

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On trouve également cette brioche pascale sous les noms de campanella et caccavellu.

22 mars 2009

Rusiu

12 mars 2009

Mon anse

24 février 2009

A Pulenda

A Pulenda ou la polenta de farine de châtaignes au coeur de la Castagniccia en Corse. Une recette, vieille comme son île et qui se transmet de génération en génération. D'autres diront "le pain du pauvre" ou "le pain corse". Il est vrai qu'il a longtemps eu ce rôle pour les familles montagnardes de Castagniccia, mais pas seulement. La farine de châtaigne, cuisinée sous toutes ses formes, remplissait son devoir nourrisseur, du plat de consistance jusqu'au dessert et à chaque fois c'était un rituel autour du fucone, comme une fête pour ces longues veillées d'hiver enneigé.

La recette de la Pulenda

Il faut d'abord compter 1 kg de farine de châtaigne pour 2 l d'eau avec 3 pincées de sel.
Vous devez prendre une "paghjola" (un chaudron) pour verser les 2 litres d'eau et les pincées de sel.Vous mettez le tout sur le feu pour porter à ébullition.
Quand l'eau bout, versez-y, en pluie, la farine que vous aurez préalablement tamisée. Munissez vous alors du "pulendaghju", un bâton de bois de châtaignier d'un mètre environ, pour tourner la pâte énergiquement en retirant de temps en temps la paghjola du feu.

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Délayez et remuez l'ensemble en tournant sans cesse le pulendaghju pour éviter la formation de grumeaux. Maintenez alors la préparation à feu doux.Faites vous aider de deux bras forts et puissants pour tenir bloquée la paghjola qui aura tendance à vouloir suivre le mouvement.

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La pulenda sera prête et considérée cuite quand la pâte fera une boule autour du pulendaghju et se décollera de la paghjola. Il faut compter environ de 15 à 20 minutes.

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Alors vous devez bien décoller toute la pâte à l'aide d'une spatule, tant des bords de la paghjola que du pulendaghju. Laisser reposer le temps que la pulenda respire et renversez la boule obtenue sur un linge fariné (grande serviette ou torchon).

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En roulant la boule dans ce linge, donnez lui la forme d'un gros pain allongé pour pouvoir couper la pulenda en tranches.
Pour celà, prendre de la ficelle de cuisine d'une longueur de 30 centimètres environ, nouez une extrémité au petit doigt de votre main gauche qui soutiendra la boule de pulenda posée sur votre avant bras et, avec votre main droite tenant l'autre bout de la ficelle, faites un cercle autour de la pulenda pour en couper des tranches de 1 à 2 centimètre d'épaisseur que vous déposerez sur votre linge fariné ou sur un plat de service.

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La pulenda se mange chaude ou tiède en accompagnement de figatelli cuits au feu de bois, d'oeufs frits à la poêle avec des tranches de panzetta ou de brocciu bien frais.

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La pulenda se mange encore en accompagnement de viandes cuites en sauce.
Froide, les tranches se font aussi réchauffer à la poêle pour prendre un croustillant encore plus savoureux pour le lendemain.

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Et pour conclure cette recette de cuisine de la farine de châtaigne corse, je vous donne une adresse de qualité pour vous procurer l'ingrédient de base pour réaliser une bonne pulenda.

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CASTAGNA DI VALLERUSTIE
Jean-Paul Vincensini et Fils
exploitants
20244 SAN LURENZU

(voir le site en cliquant sur Castagna di Vallerustie dans les - liens amis - colonne de gauche du blog)

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20 décembre 2008

La Coloniale

La Corse peut s'enorgueillir d'avoir prêté et même donné ses enfants à la République. Il ne faut pas seulement se référer aux dernières guerres qui ont vu les noms de ces héros se graver sur les Monuments aux Morts de nos villages. Il faut aussi penser à tous ceux des régiments de la Coloniale qui ont servi la France au bout du monde.

Qui de nous, dans sa famille respective, n'a pas eu un aieul arborant fièrement et légèrement sur le côté, ce képi à l'ancre de marine

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La légende de ceux là est à l'égale de celle de la Légion Etrangère..et les noms résonnent à nos oreilles avec la Chine : Changhaï, Nankin, Pekin...le Maroc : Mekhnès, Fès, Rabat, le Sénégal :Dakar, Kaffrine, Mérkhé, l'Indochine: Cholon (Saïgon), Hanoï, Haïphong.

Des régiments de corses, de bretons ou d'alsaciens qui avaient choisi de servir la France aux quatre coins du monde, faute de n'avoir trouvé de métier ou d'emploi dans leurs contrées respectives. Ils s'étaient engagés pour un contrat de cinq ans renouvelé une fois ou deux.

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Des régiments stationnés à Toulon, Draguignan (Var), mais aussi Joigny (Yonne), regroupant de l'infanterie, de l'artillerie lourde, de l'artillerie de montagne (à dos de mulets) et qui, pour le maintien de la paix contre des émeutes autochtones des boxer ou autres rifains, embarquaient à Marseille pour rejoindre l'Afrique ou la Chine ou tout autres territoires ou nations sous protectorats français.

30 jours de bateau pour rejoindre Changhaï en passant par le canal de Suez, Djibouti, Bombay, Ceylan, Singapour, Cholon, Hong Kong...et un séjour de 3 à 5 ans sans permission en métropole.

Ces régiments qui, à la seconde guerre mondiale, se sont regroupés en Afrique du Nord pour éviter l'occupant et ont renforcé les armées britanniques et américaines alliées pour libérer l'Italie ou débarquer en août 1944 à St Raphaël et dégager la Provence de l'occupation allemande avant de rejoindre le bloc offensif du 6 juin sur les bords du Rhin.

N'oublions pas ceux de la Coloniale !

Groupe

6 décembre 2008

Charles ROCCHI - le quartier maitre

1 décembre 2008

3 Frères morts pour la France

Dans la suite de l'article relatif au 173° Régiment d'Infanterie et au commentaire apporté par Nathalie Constantin au sujet de la Famille PARLANTI, je publie ci-dessous les certificats de décès " Tué à l'ennemi" de ces 3 frères, morts pour la France entre 1914 et 1918.

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Simon-Jean ( 32 ans), Jean-Pierre (31 ans) et François PARLANTI (27 ans)

Simon-Jean, caporal au 173° R.I., a trouvé la mort le 24 avril 1915 au Bois de Bouchot, dans la Meuse

Jean-Pierre, Sergent au 24° Colonial, est tué le 26 septembre 1915 à Massiges, dans la Marne

François, du 102° Bataillon de chasseurs, meurt le 28 janvier 1917 aux Carrières Sud, dans la Meuse

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29 novembre 2008

Vieille citadelle toujours fidèle après tant d'années

Toujours là, bien plantée, fidèle à son passé, balafrée par les attaques subies, usée par le vent et les embruns....mais toujours forte et droite pour protéger sa ville.
Parfois nos regards l'oublient, parce que gravée à notre décor quotidien...Alors, prenons le temps d'un petit coup d'oeil complice à ses pierres juste pour lui dire que c'est faux: on ne l'oublie pas notre citadelle !!...la preuve...

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24 novembre 2008

Marie Walewska (1786-1817) ou l'amour de Napoléon

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Ci-dessous, Marie Walewska, alors toute jeune Comtesse polonaise de 19 ans, raconte elle même dans un récit autobiographique comment eut lieu sa première rencontre coup de foudre avec Napoléon Bonaparte, donnant ainsi naissance à une profonde histoire d'amour qui durera près de 10 ans.

Les rumeurs concernant l'arrivée prochaine de l'empereur Napoléon s'amplifiaient constamment. L'attention de tous et chacun se tournait vers le grand homme et la crise politique, dans l'espoir qu'il réglât cette dernière en faveur de la Pologne.

Cherchant à toucher son cœur, la population manifesta son patriotisme de diverses manières. Cet émoi m'emporta au même titre que les autres et, conséquemment, je pris une décision irréfléchie. Accompagnée d'une cousine, je partis à sa rencontre pour tenter de l'apercevoir. Cette imprudence allait changer ma destinée.

Vêtues de costumes simples, ma cousine et moi montâmes dans un fiacre dès que les courriers annoncèrent que sa Napoléon Bonaparte n'était qu'à une étape de Blonie. Je plongeai sans réfléchir dans cet enthousiasme, cet emportement frénétique qui s'emparait de tous. Chaque citoyen polonais désirait montrer ses sentiments à l'homme que l'on considérait déjà comme le sauveur de notre patrie.

La route était encombrée de troupes, de bagages, de courriers. Notre fiacre gardait difficilement son équilibre. En dépit de tout, nous poussâmes le cocher à se hâter.

Les questions fusaient sans cesse. « L'Empereur est-il encore loin ? », demandions-nous constamment. À notre arrivée à Blonie, nous vîmes une foule très nombreuse et des chevaux de relais piaffant d'impatience. Tout cela, naturellement, indiquait l'arrivée imminente de Napoléon.

Comme nous étions deux femmes seules, sans un homme pour nous protéger, nous fûmes pressées, poussées et presque étouffées. Dans cette situation désespérée et dangereuse, je craignis de ne point voir le triomphe qui me tenait tant à cœur. C'est à ce moment que nous entendîmes le bruit de son fiacre et les acclamations de la foule venue l'accueillir.

Profitant d'un instant de silence, je lançai un cri de détresse à un officier français de haut rang devant qui la foule s'écarta. Je tendis les bras vers lui et criai en français d'une voix suppliante : « Ah Monsieur, aidez-moi à me dégager d'ici et laissez-moi le voir, ne serait-ce qu'un instant ! »

Il me vit et, souriant, prit ma main et mon bras. À ma grande surprise, il me conduisit à la porte même de la voiture de l'Empereur. L'Empereur était assis près de la fenêtre et ce galant officier nous présenta en disant : « Voyez, sire, cette belle dame a affronté les dangers de la foule pour vous. »

Napoléon se pencha et souleva son chapeau en disant des paroles que, dans mon émoi, je ne compris point. Je parvins à articuler, d'une voix entrecoupée : « Soyez le bienvenu, mille fois bienvenu dans notre pays. Nous ne pourrons jamais exprimer avec assez de force toute l'admiration que nous éprouvons pour vous ainsi que notre joie de vous voir sur la terre de nos pères. Nous attendions que vous vinssiez nous sauver. »

J'étais comme en transes, mais l'éclat de mes sentiments se traduisit facilement en mots. Timide comme je suis, comment y étais-je parvenue ? Je ne sais pas. Et comment avais-je trouvé la force d'exprimer ma pensée ?

Je remarquai que Napoléon m'observait attentivement. Il prit un bouquet dans le fiacre et me l'offrit en disant : « Gardez ces belles fleurs en gage de mes bonnes intentions. Nous nous reverrons, je l'espère. Peut-être à Varsovie où j'attendrai que vous veniez me remercier. »

L'officier haut gradé retourna rapidement à son siège au côté de l'Empereur et la voiture s'éloigna rapidement. Mais le grand homme continuait de me saluer du chapeau.

Je restai immobile, à le regarder disparaître au loin, mes mains serrant le bouquet contre mon cœur, mon esprit empli de mille nouvelles pensées. Je me souviens d'avoir pensé : « Est-ce un rêve ? Ai-je réellement vu et parlé au grand Napoléon, le grand Napoléon qui m'a donné ce souvenir, si flatteur pour mes espérances, un gage qui vaut plus à mes yeux que toutes les richesses du monde ? » Ma compagne me donna des coups de coude et me poussa pour me ramener à la réalité.

Nous quittâmes Blonie, n'atteignant la maison que tard en soirée. Je me mis au lit épuisée d'émotions, mais comblée de bonheur.


J'appris que l'Empereur avait dîné avec le comte, qui avait invité l'élite des dames de haut rang. Merveilleusement belles et spirituelles, elles faisaient honneur à notre pays en déployant leur charme radieux. Quant à moi, satisfaite d'avoir fait mon devoir patriotique bien avant les autres, flattée d'avoir retenu son attention pour un moment et d'avoir reçu de lui une promesse précieuse et un gage, je restai assez modeste pour cacher mon triomphe, le savourant en silence et dans la solitude.

Mais ma compagne agit bien différemment. Elle ne garda point notre secret. Un matin peu après, j'étais à peine levée que je reçus un message d'un des plus importants gentilshommes de notre communauté, me demandant le moment le plus opportun pour me rendre visite. Vivement étonnée d'une requête si matinale, je lui fis répondre que je le verrai à midi.

Il se présenta à l'heure dite et s'adressa à moi dans les termes les plus avenants et fervents.

« Madame, je suis venu vous demander pourquoi vous ne vous êtes pas prévalue de l'occasion d'accepter l'admiration de notre auguste invité, puisque vous êtes l'une des plus belles fleurs de notre pays. Sans mentionner le plaisir que j'aurais moi-même éprouvé à vous voir de près. Dorénavant, nous devrions nous dévouer entièrement à rendre plaisant et agréable le séjour de ce grand homme sur qui se fondent tous nos espoirs. C'est pourquoi je suis venu vous implorer de ne plus vous cacher, et d'accepter une invitation au bal que je donnerai chez moi. Je présume que vous n'avez pas besoin d'être annoncée. »

Il sourit et ajouta : « Nous savons tout, Madame. »

J'étais assez déconcertée par son rire espiègle, je rougis. Je ne voulais pas montrer que j'avais compris ce qu'il insinuait.

« Allons, allons, trêve d'humilité. Ne cachez plus votre charme. Votre secret a été trahi et je vous dirai comment j'ai fait pour connaître votre brillante conquête. Vous devez savoir que jeudi soir dernier, il a dîné au palais. Le comte avait placé autour de la table les plus belles et plus brillantes dames de notre société. L'empereur a été charmant avec chacune d'elles, mais nous avons remarqué que son attention se fixait plus particulièrement sur la jeune princesse. Heureux d'avoir perçu ce qui semblait une préférence, nous lui avons offert le plaisir de la voir à toutes les festivités données en son honneur. Mais, imaginez ma surprise quand un des officiers de Napoléon me dit : « Il faut admettre que vos dames sont remarquablement supérieures sous tous les angles. Quand l'Empereur est revenu de la réception l'autre soir, il m'a confié ceci : 'N'avez-vous pas remarqué, Duroc, que les plus belles fleurs auraient pâli en comparaison de cette assemblée de femmes attrayantes... mais qu'est-il arrivé à la jeune femme à qui j'ai remis le bouquet à Blonie?' Je regrette encore de ne pas l'avoir trouvée. »

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La comtesse Marie Walewska (née Laczinska) est née en 1786. À l'âge de 18 ans, elle se marie au comte Athenase Walewski, de plusieurs années son aîné. Elle lui donne un fils en 1805.

Durant l'occupation de la Pologne par les Français, elle rencontre Napoléon et est poussée par ses amis patriotes à devenir sa maîtresse, ce qu'elle est peu disposée à faire de primes abords. Cependant, elle donne finalement son accord, espérant influencer l'Empereur pour qu'il traite la Pologne avec justice.

Mais Napoléon et la comtesse tombent éperdument amoureux l'un de l'autre et la comtesse devient sa compagne fidèle et aimante. Le 4 mai 1810, elle lui donne un fils, Alexandre Walewski, qu'il fait comte et à qui il laissera plus tard des biens importants, y compris la propriété d'un immeuble au n° 48, rue de la Victoire à Paris, lequel sera une source de revenus pour la mère.

Marie Walewska demeure fidèle à Napoléon jusqu'à son exil à Sainte-Hélène. En septembre 1816, elle se marie à un cousin éloigné de Napoléon, le comte Philippe-Antoine D'Ornano. Malheureusement elle meurt en couches en 1817 à l'âge de 31 ans et son cœur est placé dans la crypte des d'Ornano au cimetière du Père Lachaise. Son corps sera ramené en Pologne. Après la mort de la comtesse, son fils, le comte Alexandre Walewski, effectue de solides études, étant devenu le pupille de son frère, un officier de l'armée française. Plus tard, il s'allie aux Orléanistes, joint la Légion étrangère et sert en Afrique du Nord. C'est à cette époque qu'on lui accorde la citoyenneté française.

À son retour en France, il devient ami et collègue d'Adolphe Thiers. Il est nommé ministre à Copenhague juste avant le coup d'état de Louis Napoléon. Toutefois, avant même qu'il n'entre dans ses fonctions, le nouveau gouvernement nomme le comte Walewski ministre à Londres, où il œuvre à la réalisation de l'entente diplomatique entre les deux gouvernements. Cette entente conduira à la visite de Louis Napoléon en Angleterre et à celle de Victoria en France. En Angleterre, le comte Walewski se marie avec Catherine-Caroline Montague, dont le père était le sixième duc de Sandwich. Elle meurt en couches.

Au cours d'une affectation diplomatique à titre d'ambassadeur en Italie, le comte Walewski se remarie à une Italienne, Marie-Anne de Ricci, dont la famille était reliée au Prince Poniatowski. Leur fils, lieutenant-colonel de l'armée française, meurt au cours de la Première Guerre mondiale, sans laisser de descendance.

Entre ces mariages, le comte Walewski entretient une longue liaison avec la grande actrice Rachel Félix. Leur fils naît à Marly-le-Roi en 1844 (mort en 1898). La descendance actuelle des distingués Walewski est issue de cette lignée.

Le comte Walewski a été très actif dans la politique française. Il a été nommé sénateur et, à la mort du duc de Morny, il devint président de l'Assemblée. Il a été membre de l'Académie des beaux-arts. Il est décédé d'une attaque cardiaque à Strasbourg en 1868.

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La visite, en Septembre 1814, de Marie Walewska à Napoléon Bonaparte, en exil sur l'Ile d'Elbe
Extrait de Guy GODLEWSKI: 300 jours d'exil

......Une visite inopinée va troubler cette quiétude. exceptionnelle dans l'existence de Napoléon. Au cours de la nuit du 1er septembre, un navire entre en rade de Porto Ferrajo mais, au lieu de gagner le port, mouille dans une crique au fond du golfe. Bertrand prévenu accourt, salue profondément la jeune femme et l'enfant qui débarquent, fait atteler une calèche et seller les chevaux. Les voyageurs disparaissent aussi mystérieusement qu'ils sont venus. En ville le bruit se répand de l'arrivée de l'Impératrice et du Roi de Rome.
Quelques heures plus tôt, au crépuscule, Napoléon avait suivi à la lunette l'approche du bâtiment. Dès qu'une estafette de Bertrand lui apprend l'accostage, il la renvoie avec ses ordres et saute lui-même à cheval. Précédé de quatre porteurs de torches, il descend de son nid d'aigle. La rencontre des deux groupes se fera au milieu de la nuit, le long de la mer, près de Marciana Marina. Napoléon prend la place de Bertrand dans la calèche et, tout en jouant avec les boucles blondes de l'enfant, s'enquiert affectueusement du voyage. Avant l'aube, tout le monde atteint enfin l'Ermitage, Napoléon a cédé sa chambre et fait dresser une tente devant la maison. Mais Ali, son valet de chambre, le voit furtivement la quitter aussitôt : Marie Walewska passe avec lui une dernière nuit...
Certes, les temps de l'idylle polonaise sont révolus. L'amour de l'Empereur est mort, celui de Marie subsiste-t-il ? Pendant les quatre années du règne de Marie-Louise il l'a rarement revue. A Fontainebleau, après l'abdication, elle a vainement attendu une nuit devant sa porte, il ne l'a pas reçue. A l'île d'Elbe, elle lui a écrit plusieurs fois, gagnant par petites étapes la côte toscane, sollicitant la permission de venir. Il la lui accorde enfin et elle accourt, peut-être avec l'espoir de rester auprès de lui.
C'est mal le connaître. Informé quelques heures plus tard de la rumeur publique, il en conçoit un vif mécontentement. Ainsi, malgré les précautions prises, les Elbois sont déjà persuadés que sa femme et son fils l'ont rejoint. Il désire éviter que le Cabinet autrichien ne tire parti de cette visite pour inciter Marie-Louise à ajourner encore sa venue. Il ne veut surtout pas, lui si strict pour les autres, que sa conduite soit un objet de scandale quand la vérité éclatera.

Marie Walewska sera donc une fois de plus sacrifiée au devoir conjugal et aux obligations d'Etat. Il ne le lui dit pas tout de suite. Le matin, il l'emmène jusqu'à son rocher ; au déjeuner, il s'esquive pour sa visite quotidienne à Madame Mère - la famille avant tout. Le soir, il dîne sous la tente avec la jeune femme et les officiers polonais de la Garde. On improvise des danses, les chants slaves s'élèvent de la terre latine. Marie espère, Marie est heureuse. Le lendemain, informée par le trésorier Peyrusse de la détresse financière de l'Empereur, elle veut restituer le collier de perles qu'il lui offrit jadis à la naissance d'Alexandre, mais il refuse avec émotion et la prie doucement de partir le soir même. Puis il disparaît toute la journée et ne la reverra que pour les adieux.
Rien ne manque à cet épisode, ni le cadre exceptionnel où il se déroula, ni son dénouement romantique. Avec la nuit la tempête s'est levée, la pluie tombe en rafales. Marie, transie, serrant son enfant contre elle, tente de s'embarquer à Marciana. Le risque est trop grand. Son navire ira l'attendre à Porto Longone, à l'autre extrémité de l'île. De longues heures elle peine sur les mauvais chemins transformés en torrents. dans la nuit traversée d'éclairs. Lorsqu'elle atteint son but, on veut encore la dissuader. Trop fière elle s'obstine, saute dans une barque et, courant mille périls. gagne l'échelle de coupée. Le vaisseau s'éloigne, elle ne reverra Napoléon que furtivement à l'Elysée et à Malmaison. quelques mois plus tard. Lui, pendant ce temps, saisi de remords et d'angoisse, dépêche un officier d'ordonnance pour ajourner l'embarquement, puis de plus en plus inquiet, saute à cheval et galope jusqu'à Longone, où il arrivera trop tard. Au matin, accablé, frissonnant, il regagne l'Ermitage, mais le charme est rompu. Deux jours plus tard, il le quittera à son tour pour n'y plus revenir."

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Extrait de Pons de l'Hérault, Napoléon Empereur de l'île d'Elbe,

Une espèce d’ouragan bouleversait le ciel et la terre. On craignait pour les bâtiments qui se trouvaient affalés sur la côte de Toscane. Néanmoins, ce fut en ce moment que Mme la comtesse Walewska quitta l’Empereur pour retourner sur le continent. Une barque attendait Mme la comtesse à Longone. Toutefois, à peine avait-elle quitté Marciana, que l’Empereur, justement effrayé de la fureur toujours croissante du vent, fit monter à cheval l’officier d’ordonnance Pérez, et lui ordonna d’aller l'empêcher de partir sous quelque prétexte que ce pût être. Mais ce Pérez, tout officier d’ordonnance que l’Empereur l’avait fait, était le sot des sots : sans cœur, sans âme, et incapable de s’inquiéter du danger qui menaçait Mme la comtesse Walewska, il ne songea qu’à s’abriter lui-même. Mme la comtesse Walewskaétait en pleine mer lorsque ce franc malotru arriva à Longone.
Les autorités et les marins de Longone avaient fait tout ce qu’il leur était possible de faire pour que Mme la comtesse Walewskane mît pas à la voile. Mais, résolue, elle repoussa tous les conseils et elle affronta
la destinée. L'Empereur eut des heures d’angoisse. Il lui fut impossible d’attendre le retour de son officier d’ordonnance. Il se rendit de sa personne au lieu où Mme la comtesse Walewska devait s’embarquer. Il était trop tard. Ses alarmes durèrent jusqu’au moment où Mme la comtesse Walewska lui eut appris elle-même que le péril était passé.

Comte Alexandre Walewski, fils illégitime de Napoléon Bonaparte (1810-1868)

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16 novembre 2008

Quand le Phare de la Revelatta était habité....

Cette carte postale du passé, issue des éditions Pascal Orsini, nous rappelle que le phare de la Revelatta a eu ses gardiens.....jadis.

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21 octobre 2008

Le Chalut pourri

“LE CHALUT" à CALVI : 24 rue Clémenceau

Restaurant à éviter en pleine saison !!
Le CorsicaBlog se doit de faire le porte parole des piégés de la gastronomie estivale:
Lisons ensemble l'aventure de ce couple

" Ce restaurant, réputé pour être un des meilleurs du port de Calvi pour y déguster du poisson après ceux, connus pour leur étiquette gastronomique, est une adresse à éviter absolument.
Notre expérience malheureuse date de cet été 2008.
Arrivés en couple pour un diner en terrasse dominant le port.
Choix de la table : discrimination pour obtenir une table sympatique et tranquille (soi disant réservée: personne n'est jamais venu) Nous nous retrouvons dans un passage, contre un mur, sans vue...
Apéritifs :
2 kir. minuscules et chauds et sans amuse bouche
Choix du menu:
Entrées
calamars à la romaine : pleins d'huile et surchauffés x fois
salade de poulpe : rien à dire
Plats
Langoustines mayonnaise: alors là !! l'apothéose !
Ensemble surgelé décongélé x fois et, à l'ouverture des têtes, chair bleue et jus vert avec l'odeur caractéristique de la macération avancée.Nous
 refusons le plat, la serveuse sans un mot d'excuse retourne l'assiette en cuisine et revient en nous proposant un autre choix.
Nous optons pour des filets de rougets. Et là !! la
soirée ratée continue: Les filets de rougets deviennent rougets entiers gros comme des maquereaux desséchés et pleins d'arêtes: inmangeable !!! l'assiette repartira intacte.
L'autre plat est censé être un pavé de saumon: l'assiette présentée nous fait voir une darne!!! Bien sûr pleine d'arêtes également. L'accompagnement semble être une insulte (une boulette de riz sec et 3 morceaux de poivrons !!!)
Nous évitons les desserts pour nous sauver au plus vite et tenter de rattraper cette soirée gachée ailleurs.
Nous laissons à regret 75 euros sur la table et en partant vidons notre venin au patron qui, en ne présentant aucune gène et aucune excuse, nous rétorque: "Que voulez vous...nous sommes au mois d' AOUT !!!!! "
Conclusion: ADRESSE A EVITER ABSOLUMENT car en AOUT au CHALUT on mange pas, ON VOMIT !!! "

19 octobre 2008

TRIPADVISOR

Dans la colonne de gauche du CorsicaBlog, dans la rubrique "liens d'amis" vous trouverez le site de "Tripadvisor" qui vous permettra de consulter les critiques positives ou négatives sur les établissements calvais oeuvrant dans le domaine du tourisme (restaurants, hôtels, etc...) Les commentaires sont laissés par des personnes ayant gardé de mauvais ou bons souvenirs d'accueils lors de leur séjour estival.......Ainsi pour d'autres, vous y trouverez de bonnes adresses à garder en mémoire pour vos prochaines sorties !!

15 octobre 2008

Tour de Corse avec le Moto Club Cuersois (Var)

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Nous allons suivre ce groupe d'amis partis de Cuers dans le Var et qui va embarquer pour la Corse depuis le port de Toulon

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Le voyage se passe agréablement et la Corse s'ouvre à nos amis avec sa belle ville d'Ajaccio. Aussitôt, tout le monde en selle et direction, les Iles Sanguinaires...

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Le voyage découverte commence réellement maintenant en prenant la direction de Propriano par le golfe de Valinco

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Puis direction plein sud avec Sartène, le Lion de Roccapina et Bonifacio...

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L'étape suivante prend le cap vers l'intérieur à partir de Porto Vecchio pour atteindre le splendide Col de Bavella avec ses aiguilles renommées

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Une grande diagonale par le col de Vergio pour rejoindre les Calanches de Piana et Porto

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Après une remontée de la côte ouest, arrivée en Balagne avec la découverte de Calvi,

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...puis l'Ile Rousse..

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Passage par Belgodère....

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......puis un petit tour dans la neige des stations de ski....

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...avant de traverser le Désert des Agriates, plonger sur St Florent et se hasarder dans le Cap Corse avant de remonter le Col de Teghime...

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Enfin....direction finale Bastia pour le Salon de la Moto du mois d'avril et.....l'embarquement pour le retour

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Quelle belle chevauchée fantastique !!!

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